Je sortais de L’Atelier, salle d’expo nantaise qui présente en
ce moment du street art et parallèlement des œuvres de musée, ce
dialogue entre l’art de la rue et l’art muséal en tête, je
tombe sur cette œuvre. Les observateurs mal avisés, ne voyant cela
qu’au premier degré, pensent y voir une offense ( le correcteur me
propose enfonce, très drôle!) à notre président, il est probable
qu’un petit nombre s’en réjouit, ils se trompent. Nous avons ici
affaire à une œuvre d’art où l’artiste crée dans sa plus
grande liberté, l'inspirant corps du modèle dans l’œil du
créateur ou l’inverse. Magnifique allégorie de la démocratie où
le corps du président appartient au peuple.
Et nous en revenons au street art et son rapport à l’art officiel quand le
graffeur devient peintre de cour et le portrait officiel une œuvre
de la rue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire