lundi 2 septembre 2013

A Coruña


A l’entrée de la ria da Coruña, face à la mer se dressent les cinquante-cinq mètres de la Tour d’Hercule.  Le phare annonce le grand large pour les bateaux en route vers l’Amérique. La Tour a été édifiée en 1791 et garde en son sein les traces du  Farum Brigantium, le phare romain. Le cap est venteux,  la mer est puissante autant qu’à la pointe du Raz, l’autre extrémité qui ferme le golfe de Biscaye ou de Gascogne selon que l’on soit Espagnol ou Français.
Non loin de là douze monolithes percés d’ouvertures veillent sur l'entrée du port. Menhires por la Paz est l’œuvre de Manolo Paz.


4 commentaires:

  1. Moins rentable, mais beaucoup plus beau et poétique que les éoliennes !
    Merci pour cette superbe image, une belle découverte pour moi.

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  2. Ils produiraient de l'électicité ce serait parfait.

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  3. Cher Luc,
    Je ne connaissais pas. Menhirs percés ? S'il paru aux spécialistes de la préhistoire que le percement, fait de main de l'homme, était signe de fenêtre spirituelle, ouverture d'axe d'ensoleillement particulier, Manolo Paz savait-il que dans le culte Celte, un menhir percé était l'équivalent de "la veuve", la tête des sacrifiés passée par la fenêtre tombant sous le couteau sacré. Comme toute pierre sacrificielle(se reporter à la pierre tombale de Gilles de Rais en feu l'église de l'Hôtel-Dieu à Nantes), le percement du menhir devint fenêtre à pratique amoureuse où paroles et bouquet échangés seraient le garant de la fidélité inviolable des serments. Gast ! Il en existe d'authentiques spécimens en Touraine, dans l'Yonne, au Perthuis, en Essonne. Amitiés

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    1. Merci Jacques pour ta visite et pour les infos complémentaires au sujet des pierres percées.

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