Vanité d'après La Madeleine à la veilleuse (Georges de La Tour)
« L'aristocratie (et la carrière politique NDLR) a trois âges successifs : l'âge des supériorités, l'âge des privilèges et l'âge des vanités. Sortie du premier, elle dégénère dans le second et s'éteint dans le dernier. »
François René de Chateaubriand
Vieux vélo un pneu crevé méditant au pied de la colonne des vanités ministérielles
rue Alsace-Lorraine -Rezé
Vanité moderne, tout y est : évocation de l'usure du temps (le vélo) et de la mort (les crânes peints sur le poteau). Excellent !
RépondreSupprimerMme de K. et moi, on adore les vanités. Hein, Mâme de K. !
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