Le ciel, terminus de l’ascension dans la mythologie chrétienne, est une sorte de paradis, comparable au néant, sans réveille-matin, petits chef ou factures d’électricité.
Ne serait-il pas judicieux de faire de ce jour férié une fête pour tous ? un moment idyllique de rapprochement et d’échange dans les ascenseurs, une fête des voisins en mieux.
Qu’en pense notre ministre de l’intérieur et des cultes ?