Qui en veut encore à l'Oberlin ? il est déjà condamné à l'arrachage !
Le noah, cépage résistant et
productif, fût très répandu dans les campagnes. Le taux de
méthanol élevé de son vin* lui valu d’être interdit de
plantation en 1935. Ceux qui prétendent que le noah rend fou
et aveugle n’ont jamais dissuadé les connaisseurs.
Le
vigoureux Baco
est le fruit du croisement de la folle
blanche
et du riparia.
Il fût créé par François Baco en 1902. Son vin*
vif, fruité et très tannique est un bienfait pour les artères.
On doit le Léon Millot à
l’alsacien Eugène Kuhlmann. Il est né vers 1911 du savant
croisement des riparia, rupestris et riesling.
On donna au cépage le nom du président de la Société Vosgienne de
Viticulture pour lui rendre hommage. Ce cépage précoce et fertile,
donne un vin* rouge de bonne qualité excellent remède contre le
petit coup de blues.
L’Oberlin pur est interdit de
culture et pire, condamné à l’arrachage. Il est né des mains de
Charles Oberlin (1831 – 1915) qui l’obtenu en greffant un scion
de gamay sur un pied de riparia. On dit que dans les
campagnes, les amateurs de ce vin* qui tache, résineux et fort en
alcool, s’échangent encore les boutures sous le manteau… chuuut !
*à consommer avec modération ou avec
des copains
¡Baco!¡Baco!¡Baco!
RépondreSupprimerFrançois Baco, l'instituteur landais de Peyrehorade qui a sauvé l'Armagnac et dont le cépage (le Baco rouge, interdit lui aussi en France) s'est exporté via Bayonne, Bordeaux, Nantes...
"et sert, tant aux États Unis qu’au Québec, de plant de production à d’excellents vins (Appellations “Ontario”, “New York”, “Niagara Peninsula”, “Lake Erie North Shore”, “Pennsylvania”, “Quebec”, “Finger Lakes”, “Prince Edward County”, “Nova Scotia” et “Ohio”). Mais aussi, en Australie et même... en Chine, paraît-il !"
http://www.centrecultureldupaysdorthe.com/figures-du-pays-d-orthe/fran%C3%A7ois-baco/
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SupprimerL'Oberlin semble faire l’objet d'âpres échanges de plomb - à observer le panneau de la rue - à moins que ce ne soit une métaphore visuelle de l'état de l'estomac du buveur de ce breuvage prohibé...
RépondreSupprimerPlusieurs plaques de rue du quartier ont subi le même sort, comme celle de la rue Baco qui a dû être remplacée. Les chiens sont plus pacifiques, ils arrosent les poteaux pour marquer leur territoire.
SupprimerJe n'y connais rien en vin. Je ne sais dire que j'aime, j'aime pas. Mais j'en bois bien.
RépondreSupprimerLe plus important c'est de le boire en bonne compagnie.
Supprimeril existe un apéritif d'Oberlin qui n'est pas mauvais
RépondreSupprimerA la votre capitaine !
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