Avez-vous lu l’étrange « Dialogue avec ta mort » de François Bon ? Un court livre de 80 pages où le dialogue marque une pause, un long silence qui vous laisse seul confronté au grand rien. L’imminence de la mort et un peu d’éternité à chaque page.
Ce vide, élément constitutif de l’œuvre, ne peut-on l’occuper que par la pensée ? Indéniablement, cette œuvre et ses blancs n’appartiennent qu’à François Bon.
On peut aussi voir cet espace comme une invitation. Sur mon exemplaire, j’ai esquissé une idée de la mort au recto de toutes ces pages - une mort pour rire.
La mort intime, celle qui m’accompagne, je la tiens à distance sur le blanc du verso.
Ce vide, élément constitutif de l’œuvre, ne peut-on l’occuper que par la pensée ? Indéniablement, cette œuvre et ses blancs n’appartiennent qu’à François Bon.
On peut aussi voir cet espace comme une invitation. Sur mon exemplaire, j’ai esquissé une idée de la mort au recto de toutes ces pages - une mort pour rire.
La mort intime, celle qui m’accompagne, je la tiens à distance sur le blanc du verso.
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