L’été dernier le musée Guggenheim
de New York présentait l’œuvre d’Alberto Giacometti. Le hasard
allait me faire rencontrer l'artiste que je ne connaissais que pour
la forme allongée de ses sculptures.
Dans le musée à l'architecture si
particulière, nous avancions dans l’immense hélice blanche
jusqu’à son ultime fin tel l’Homme qui marche, puisque
nous sommes condamnés à avancer. Ce parcours ne fût pas qu’un
choc esthétique et j’en ai une conscience accrue depuis la lecture
de l’histoire de cette création magnifiquement racontée par
Franck Maubert.
L'homme qui marche - Franck Maubert