Le parc de la Morinière est en mal d'enfant,
La butte des grands toboggans ressemble à l'Île des morts.
La butte des grands toboggans ressemble à l'Île des morts.
Nous n'irons plus au bois,
Les lauriers sont coupés
Les amoureux ont déserté les bancs publics,
Bancs publics.
Les lauriers du bois
nous les laissons faner
Et tous les rossignols,
se sont mis à roter.
Cioran aurait apprécié, baissé la tête pour sourire...
RépondreSupprimerCher Luc-Antoine,
Supprimerj’aurais pu faire péter les pigeons mais il était tentant de faire un petit clin d'œil à l’auteur du Précis de décomposition.
Salutations amicales