Chaque coin de rue le leur rappelle, les rezéens ne doivent se
bercer d’aucune illusion, l’avenir et le progrès sont des impasses, l’espoir est
interdit. Les plus lucides ont depuis longtemps fui les lieux de culte, vidé
leurs livrets A, déserté les urnes … Assurément, cette conscience du no future
donne à la banlieue l'urgence de vivre.
Ben merde, si l'avenir est sans issue, où va-t-on ?
RépondreSupprimerBerthoise, vous n'étiez pas au courant?
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